[symple_testimonial by= » » fade_in= »true »]Putain, les titres de chapitre étaient super con T__T… J’ai même pas l’impression d’avoir amélioré ça avec le temps ! LA HONTE, SA MÈRE. Gaara a une petite-amie. ALLÔ. J’me souvenais même pas d’avoir écrit un truc pareil. Avec Sakura, wallah. je respecte rien… Je lis le chapitre avant de le poster, histoire de… C’est chaud comme ça craint ! « Gaarachoupiii » MAIS WAAAT. SA RACE. Je meurs direct, là ><.[/symple_testimonial]

 

Pour Temari

Temari se leva, il était plus de quinze heures, elle était arrivée la veille à cinq heures du matin, mais maintenant, elle pétait la forme et avait une envie folle d’embêter quelqu’un, pourquoi ? Aucune idée, la seule chose dont elle était sûre, c’est qu’elle avait une envie d’emmerder quelqu’un. Malheureusement pour elle, Kankurô était partit en mission. Il ne restait que… Gaara. Mais oui ! Gaara ! C’était pourtant évident. L’ex-jinchuuruki était devenu un garçon des plus sympathiques. Même s’il restait quelque peu distant face aux conseillés de Suna, il l’était beaucoup moins en ce qui concernait sa sœur, son frère ou sa petite-amie.

La belle blonde se dirigea donc vers la chambre du Kazekage. Elle ne frappa pas, et rentra en criant :

« Gaarachoupiii ! Lève-toi ! hurla Temari
– Ta gueule Temari ! Ferma-là, sinon j’te bute, dès que je me serai réellement réveillé ! cria une voix sortit d’une couette des plus épaisses.
– Rooh ! T’es pas drôle Gaarachoupiii !
– Et arrête de m’appeler comme ça ! hurla Gaara en sortant de sous ses couettes.
– Ouh ! Que tu es mignon Gaara ! Et il est très mignon ton boxer… avec des petits lapins roses et jaunes, répondit Temari sarcastiquement.
– Que… »

Gaara, qui ne comprenait rien, inspecta les alentours : Temari, les joues légèrement rosies, détournait le regard. Les couvertures, étaient à terre. Les fenêtres laissaient la lumière pénétrer dans la pièce. Temari fermait à présent, les yeux, les joues prenant une teinte rose foncée. Gaara regarda son corps, il était nu ! Non ! Un boxer ! Ouf, soulagement. Il regarda une dernière fois sa sœur qui fermait les yeux avec force, mais les joues, elles, n’étaient plus du tout roses, elles avaient repris leur couleur d’antan.

« Gaara, est-ce que… Tu pourrais…  Est-ce que tu pourrais te couvrir…. S’il te plait, demanda la blonde en respirant profondément.
– Euh, je… oui.
– Merci. »

Temari se leva et sortit à une vitesse impressionnante. Elle claqua la porte et respira doucement. Elle se mit alors à rire d’un petit rire des plus sadiques. Elle retourna dans sa chambre, pour y prendre sa douche.

Gaara quant à lui, se demandait pourquoi Temari avait eu une réaction aussi étrange. Mais abandonna vite cette idée, pour la diriger vers l’élue de son cœur : Sakura Haruno. Sa douce fleur de cerisier. Comment en était-il arrivé là ? Il l’ignorait. Tout ce qu’il savait, c’est que ça lui était tombé dessus d’un coup ! Mais pourquoi Sakura ? Après tout, il était tombé sur des femmes nettement plus matures et belles, mais il avait choisi Mademoiselle Haruno. Une fois, il en était arrivé à demandé le pourquoi du comment à Kankurô. Son frère lui avait parlé de la théorie du pont suspendu : lorsqu’une personne qui traverse un pont suspendu aperçoit une personne de sexe opposé de l’autre côté dudit pont, elle en tombe amoureuse (Théorie sortie du manga « School Rumble », pour la suite j’ai la flemme d’expliquer !). Sur le moment, le Kazekage n’avait pas compris, mais en y réfléchissant avec plus d’attention, peut-être qu’il y avait un fond d’intérêt à y apporter.

Gaara se rappela de la jeune fille qui lui avait porté un peu d’intérêt. Tout petit garçon, il n’avait pas d’ami, ça il s’en souvenait très bien. Pourtant, Elle avait été là pour lui. Elle devait avoir dans la vingtaine – Comme Sakura à présent. Des yeux d’un vert émeraude qui l’avait profondément marqué. Et des cheveux rouges très clairs, presque rose. Elle avait été l’une des seules personnes à lui avoir adresser la parole sans avoir peur de lu… Peut-être juste qu’elle ne savait pas qui il était, après tout, il ne lui en avait pas parlé ! Mais ce passage de sa vie l’avait énormément marqué. Ainsi… Y avait il un lien…?

Temari quant à elle avait finit sa douche, s’était rhabillée, et attendait quelqu’un, assise sur le lit de sa chambre.

On toqua, Temari fit un grand sourire, ouvrit la porte, sauta au cou de la personne qui venait d‘arriver et l’embrassa…

oOoOo

« Raah ! Ca me fait chier d’attendre ! dit une voix masculine.
– La ferme ! Maintenant tu te tais ! Et tu attends ! lui répondit une voix plus féminine.
– Mais, j’suis trop fatigué ! Ce voyage a été trop crevant !
– Mais nan, t’es juste ramolli !
– Shika a raison, moi aussi je suis fatigué ! déclara une troisième voix.
– Raah ! Qui a eu l’idée de me mettre dans une équipe de ramolli, dit la voix féminine
– Tais-toi Ino ! Laisse mon cerveau se reposer. Et arrêtes de râler.
– J’ai pas d’ordre à recevoir d’un flemmard ! cria Ino, outrée
– Tss, relou ! Chôji, tu m’passes des chips, j’ai la dalle !
– Equipe de naze, marmonna la blonde.
– Euh, bonsoir, je vous dérange ? demanda une voix masculine, qui donna des frissons d’horreur à la team 10.
– Euh, déclara Ino, bonsoir Kazekage-sama. »

Ledit Kazekage qui, jusqu’à présent, était appuyé sur le cadre de la porte principale, s’en détacha et avança lentement, il contourna le petit groupe, puis son bureau, pour finalement s’installer sur une chaise moelleuse. Il regarda avec attention les trois personnes qui venaient d’arriver, et posa un regard blasé à l’horloge ; dix-sept heures, et merde ! Il avait encore loupé les trois-quarts de sa journée !

« Que voulez-vous ? demanda Gaara.
– Euh, Ino décida alors qu’elle servirait de porte-voix, nous avons des documents à vous présenter, il ne vous est demandé que quelques signatures.
– Bien… » Gaara jeta un regard à la blonde de Konoha lui faisant comprendre un truc du style « Tu sais, j’t’aime bien, mais là, chuis un peu pressé, pas que tu ma fasses chier, mais si tu pouvais me passer ces foutus documents, on irait deux fois plus vite ! »

Ino comprit le message et sortit les quelques documents qui, jusqu’à présent, étaient dans son sac. Elle les lui tendit.

« Bon, je suppose qu’après trois jours de trajets, vous n’êtes pas en état de retourner à Konoha, les trois compères hochèrent de la tête, je vais donc vous trouver des chambres disponibles… Gaara sembla chercher quelque chose, et cria, Tenshin ! »

Ladite Tenshin arriva quelque seconde plus tard, une petite brune aux yeux verts, un visage fin et souriant portant un kimono orange, quasiment la même couleur que le survêtement de Naruto.

« Bonsoir Kazekage-sama, vous m’avez demandé ? demanda-t-elle.
– Bonsoir, il faudrait que tu emmènes ces trois personnes dans leurs chambres, pour la nuit. Ils repartiront demain.
– Entendu, monsieur »

La petite brune invita l’ancienne team 10 à la suivre, après avoir salué respectueusement le kage du village de Suna.

oOoOo

Ino s’affala sur son lit, enfin… « Lit » était un bien petit mot ; la chambre était simple, mais immense ! Une chambre ressemblant plus à celle d’une princesse qu’à celle d’un ninja de passage dans le pays. Le lit était couvert par un drap épais et rouge, très soyeux. Et la moquette était cotonneuse, vraiment étonnant, en tout cas, d’après Ino. Elle souffla lentement et ferma les yeux, pour se sentir fraîche et nette. Mais, elle se rendit alors compte qu’elle sentait le chacal, d’un coup elle rouvrit les yeux et se dirigea machinalement dans la salle de bain mise à disposition dans sa chambre. (Bien sur, l’auteur n’a pas que ça à faire, mais faut bien faire passer le temps : Je n’écrirais pas ce qui se passe sous la douche !) Après ce délicieux moment passé sous l’eau, la blonde se décida à sortir prendre l’air.

A l’extérieur le temps était plus léger, plus frais. La Yamanaka se demanda sur le moment si Shikamaru était allé voir Temari. Mais ses pensées furent interrompues par l’arrivée impromptue de Kankurô. Elle fut la première à le voir, elle cria un bon coup son prénom, et il la repéra, elle leva la main dans un signe de salut, il y répondit.

Le garçon ne semblait pas dans son assiette, en effet, des égratignures couvraient la moitié de son visage, et les trous dans son habit n’arrangeaient pas son aspect physique. Bien sur, après un retour de mission, il ne devait pas être très frais. Mais Ino n’y fit pas attention, trop préoccupée à parler alors que le ninja ne semblait pas s’y intéresser. Kankurô espéra alors l’arrivée de sa grande sœur ; les deux blondes auraient alors pu se faire la conversation. Si seulement il savait… A la fin de la longue tirade de la konohienne (ça se dit ?), Kankurô se décida à partir avant qu’elle n’en commence une autre. Ainsi, aurait-il une chance en plus de ne pas se faire déchiqueter par son adorable petit frère qui n’attendait qu’une chose : le rapport de mission. Alors qu’il commençait à s’éloigner, Temari arriva. Un sourire béat sur le visage, et une main accrochant une autre main. La sunienne ne les vit pas et continua son chemin en courant. Mais Ino, elle, resta la bouche et les yeux grands ouverts. Elle se tourna vers Kankurô, il lui fit un sourire gêné et partit en un rapide signe de main. Non ! Elle avait rêvé ? Temari, joyeuse, et elle tenait la main de Tenshin !

 

[symple_button url= »http://f.soudy.wf/triangle-resume/ » color= »green » size= »small » border_radius= »3px » target= »self » rel= » » icon_right= » »]Résumé[/symple_button] [symple_button url= »http://f.soudy.wf/triangle-chapitre-1/ » color= »grey » size= »small » border_radius= »3px » target= »self » rel= » » icon_left= »heart-o » icon_right= » »]Chapitre précédent[/symple_button] [symple_button url= »http://f.soudy.wf/triangle-chapitre-3/ » color= »grey » size= »small » border_radius= »3px » target= »self » rel= » » icon_left= »heart-o » icon_right= » »]Chapitre suivant[/symple_button]

Une réponse

Les commentaires sont fermés.